

C'est bon pour les neurones !
Une activité physique modérée, comme celle qui consiste à se déplacer à vélo sans souci de la performance, favorise irrigation et oxygénation du cerveau.
De plus, les nombreux stimuli neurosensoriels auxquels sont exposés les cyclistes par leur immersion en direct dans l'environnement qu'ils traversent, développent l'ouïe, la vue, qui bénéficie d'un champ visuel maximal, l'odorat (mumm, les parfums changeants du printemps...) et le toucher. Concernant le goût, Brillat-Savarin disait que ses "excitateurs" en était " l'appétit, la faim et
la soif ". Nul doute donc que l'utilisation de l'énergie humaine pour se déplacer ne développe aussi le goût.
la soif ". Nul doute donc que l'utilisation de l'énergie humaine pour se déplacer ne développe aussi le goût.
Ainsi sollicité pour traiter les informations qui lui sont transmises en nombre par nos cinq sens, le cerveau ne chôme pas et cela lui fait un bien fou.
Une pratique régulière permet aussi d'améliorer la résistance au stress donc on connaît l'effet : un peu c'est bien, beaucoup... cela peut entraîner des dégâts.
Une pratique régulière permet aussi d'améliorer la résistance au stress donc on connaît l'effet : un peu c'est bien, beaucoup... cela peut entraîner des dégâts.
Et comme le plaisir est souvent de la partie, et qu'il protège des idées noires aux effets délétères, cela contribue à préserver nos capacités.
Un exemple pour tous les usagers de la bicyclette : Einstein.
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