Les dernières études sur le sujet le confirment : si les grandes villes françaises dépassent fréquemment les seuils européens concernant les particules fines, et tout particulièrement les particules fines PM2,5, extrêmement toxiques, ils le doivent, malgré les FAP, aux véhicules diesel qui prédominent en France, pour des raisons fiscales, car le diesel y est moins taxé que l'essence. Et pourtant, pour les voitures qui roulent peu et sur des trajets courts ce choix n'est même pas, en règle générale, le plus économique face aux modèles essence.
A vélo évidemment, la question ne se pose pas, pollution ou coût au kilomètre parcouru, les performances sont excellentes ! Mais ça, pas besoin des études d'Airparif pour le confirmer.
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